avr 09
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Divers trucs – 3
Pas le temps de faire un billet sur chaque, mais je trouve utile d’en parler.
D’abord, le site qui tue sur les euro députés, et leur classement par assiduité. Bien sûr c’est édifiant, surtout si l’on classe uniquement les français, et en plus par ordre inverse. Parlorama.eu a été créé pour être un indicateur et donner une base de réflexion. Il s’agit bien de quantité, et pas de qualité. Mais en la matière cela va souvent de pair dans un métier (oui, c’est un vrai métier) qui nécessite un vrai lobbying. Donc une réelle présence. Avec un Paul Vergès avant dernier des 920 députés, il serait raisonnable qu’il laisse la place à quelqu’un qui puisse être présent à Bruxelles et à Strasbourg!
Un récent sondage (baromètre médiamétrie) indique que les jeunes n’écoutent quasiment plus la radio sur les ondes, mais privilégient les podcasts ou autres formes d’écoute numérique. Idem pour la télévision. Le podcast devrait donc être l’avenir de la radio. Pas pour remplacer les émissions musicales. Mais pour proposer des émissions de débat, d’information et de culture. Que l’on pourrait écouter sur nos nombreux trajets quotidiens. Il faudrait également que ces émissions ne soient produites que pour être podcastées. Sans jamais être diffusées sur les ondes. Dans ces périodes d’économies, ou Radio France fait des coupes sombres dans ses effectifs, et dans ses grilles, voilà une façon d’étendre la grille à moindre coût, et de façon illimitée. Et le principe de la longue traîne s’applique parfaitement, les bien concernés (émissions) étant totalement dématérialisés! En plus, la présence de publicité contextuelle peut être encore plus efficace, comme modèle économique, sachant que le podcasteur zappe très rarement en écoute. Je vous invite à relire le chapitre sur la longue traîne du livre « Business Social Networking », téléchargeable gratuitement.
Depuis plusieurs dizaines d’années, les différents services confidentiels de l’état (Renseignements Généraux, Sécurité militaire) fichent les français. Sur des fiches en carton. Et un jour, la CNIL a été créée. Bien sûr les services concernés ont informatisé une partie des informations. Mais aucune fiche carton n’a été détruite. Et bien sûr, aucun organsime ne contrôle des fichiers papiers, alors que tout le monde s’affole sur les rares fichiers numérisés. Qui sont sans intérêt, puisque faisant référence à des numéros de dossier, ou des numéros de fiches. Ces fiches existent toujours et sont toujours alimentées. Sans contrôle. De quoi faut-il vraiment s’inquiéter?
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C’est un Barrabillet du Barrablog