Gérez votre stress

Avec ce billet, j’inaugure la catégorie « Zen »!

Vos objectifs:

  1. Je pratique la relaxation
  2. Je bois moins de café
  3. Je réalise des efforts physiques
  4. J’accepte la contrariété
  5. Je ne reporte pas à demain
  6. Je respire
  7. Je prends du recul
  8. Je prends des pauses
  9. Je positive
  10. J’arrête de fumer
  11. Je recherche du soutien
  12. Je fixe mes limites
  13. J’accepte l’imperfection
  14. Je retrouve le sommeil
  15. J’adapte mon environnement de travail
  16. Je me fais plaisir
Je vous détaille tout ça rapidement…
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source: le JDN
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Google+ et Twitter effectuent une percée dans les BRICS*?

eMarketer.com vient de publier un article sur la pénétration de Twitter et Google+ dans certains pays. Revenons sur le sujet, car en France, à part citer l’info (liens), la commenter en deux lignes ou via un tweet, personne ne s’y est réellement penché. D’abord, les statistiques brutes.

Je ne suis pas étonné. Pourquoi? Les usages et le marché gouvernent, et plusieurs explications peuvent justifier ces statistiques.

Déjà, certains pays d’Asie (Vietnam, Philippines, Thaïland) sont de grands créateurs de « faux » comptes permettant les nombreux « likes », « friends », « circles », « followers » que demandent les marques en devenir, à grand renforts de $ ou d’€. De nombreux prescripteurs (responsables marketing, communication, voire DG) n’ont en effet pas encore compris qu’acheter du follower ou du like ne sert pas à grand chose, s’il n’y a pas de vrai trafic (au sens de passage).

Ensuite, les marchés: n’est-il pas normal que là où Orkut (le vrai réseau social de Google) cartonne, Google+ fasse un bon score? Un bon matraquage publicitaire sur l’un, l’existence d’un compte Google quasi obligatoire, une fusion des comptes suggérée, voire imposée (voir image ci-dessous) et hop, le Brésil est en tête! De même pour l’Asie. La Russie? Il suffit qu’un prestataire comme Yandex (un yahoo russe qui a réussi) communique sur le sujet et les russophones suivent. D’autant que le Facebook russe, VKontakte (véritable clone de l’ancienne version du dit Facebook) est plus un wall personnel qu’un vrai réseau social. De plus, par réaction envers Facebook, et parce qu’ils considéraient Yandex un peu ringard, de nombreux utilisateurs de VKontakte ont commencé à utiliser Gmail, et sont naturellement venus à Google+.

Les usages? Plurk (dont la fiche wikipedia française n’existe même pas**) est incontournable dans des pays à forte tendance bouddhiste et à forte notion de réputation IRL, notamment grace à sa notion de karma transformant ce TwitterLike en un jeu social. En effet le karma acquis permet de débloquer des fonctionnalités supplémentaires, pour mieux briller IRL par la suite. Les blogs du type KarmaSecrets font d’ailleurs fureur! De même, comme Google+ peut faire émerger de l’expertise (déjà par son système de classement par cercle), il correspond aux usages locaux, avides de qualification d’autrui.

Pour Twitter, que la Chine soit devant n’est pas étonnant!!! Deux raisons majeures concernant surtout les usages peuvent l’expliquer. Twitter ici, c’est 140 lettres (ou signes). En Chine, c’est 140 idéogrammes!!! Soit plus de 500 de nos caractères. Et ils n’hésitent pas à écrire sur plusieurs tweets. Ainsi, en trois tweets, ils peuvent mettre autant de contenu que dans un article de blog. Ensuite, ils utilisent beaucoup les mobiles, et Twitter est un média qui s’accommode parfaitement à cet usage. Il a été conçu pour ça ne l’oublions pas (d’où le format SMS). Les chinois ont même développé (cela a commencé par leur génération Y) un langage spécifique, fait de chiffres pour passer outre la censure. En effet, la  prononciation de certains nombres est phonétiquement proche d’idéogrammes signifiant tout autre chose (comme au Japon d’ailleurs).

D’autre part, les chiffres de la Chine paraissent hallucinants. Surtout face aux USA, normalement bien plus branchés sur le web. Mais ils faut les rapporter aux populations. Globale d’abord (313M aux USA, 1340M en Chine), mais aussi à la population d’internautes, pour être encore plus précis. Et là, les 3% d’internautes chinois sur Twitter face aux 7% d’internautes américains paraissent plus cohérents. Idem pour l’Inde.

Donc, résumons, 3% seulement d’internautes, des tweets allant entre 500 et 1000 de nos caractères, un usage compulsif et bien plus répandu du mobile, et hop on comprend mieux non?

D’ailleurs, pour enfoncer le clou, le nombre de caractères de ce billet est divisé par 4 une fois traduit en chinois.

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  • * BRICS: acronyme anglo-saxon pour Brazil, Russia, India, China and South Africa
  • ** je te vois d’ici te précipiter pour aller la créer :-)

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mise à jour d’un article du 19 octobre 2012 à 15 h 56


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Droit dans le mur… Mais vite, très vite.

Cela fait un bout de temps que je n’alimente ce blog qu’au gré de mes humeurs. Et comme je m’assagis avec le temps, forcément, je publie de moins en moins. Mais là je suis indigné. Indigné par ce que l’on fait de l’Île de la Réunion. Alors, je fais une petite mise au point. Si tu ne sais pas où est la Réunion (non, ce n’est pas aux Antilles), clique là.


L’Île de la Réunion c’est le pays d’une partie de mes ancêtres. De la plus grande partie de ma famille. Cela fait 10 générations qu’il y a des Barrabé sur l’Île de la Réunion. La Réunion qui a gagné, oui, gagné, son statut de département. Souvent abandonnée, mais toujours fidèle. Espérant la continuité territoriale, sans jamais l’avoir connue. La Réunion c’est 3,5 fois plus petit que la Corse. Et 2,5 fois plus peuplé. Et la Réunion, elle, est fière d’être française.

L’Île de la Réunion c’est un chômage bien plus élevé qu’en Métropole. Par bien plus élevé, j’entends sur certains créneaux jusqu’à deux fois supérieur. Des salaires très bas. Bien plus bas que nulle part ailleurs en Métropole. Comment en est-on arrivé là? Personne n’est d’accord bien sûr. Ni les hommes politiques, ni les patrons de l’Île, ni aucune des instances, associations ou organismes qui sont parties prenantes. Mais tout le monde se plaint, tout le monde demande des solutions. Cependant quelques facteurs, typiquement endémiques, auraient dû attirer leur  l’attention.

  • Premier facteur, une date, le 27 juin 2001. La fin du service militaire.
  • Second facteur: les études supérieures se sont allongées dans l’Île; il y a 20 ans il fallait aller en Métropole pour les suivre dès le niveau Bac+2. Résultat: plus 74% d’étudiants en 20 ans.
  • Troisième facteur: plus de transmission du foncier non bâti dans les classes moyennes. Il n’y en a simplement plus à transmettre. La dernière génération en ayant massivement bénéficié, c’est la génération des enfants nés dans les années 60.
  • Quatrième facteur: l’augmentation de la population sur la même période. Soit 200.000 jeunes de plus arrivant sur le marché du travail.

Alors. Jusque dans les années 80, le jeune réunionnais sans avenir prédestiné (n’étant ni fils de famille, d’entrepreneur, ni père, ni déjà employé), la jeune réunionnaise de même (ni pré-mariée, ni mère, ni déjà employée elle aussi), et un tant soit peu studieux, quittaient l’Île pour poursuivre leurs études. D’autres garçons partaient pour effectuer leur service militaire. Certains partaient même faire leurs études, puis effectuaient leur service militaire ensuite, sur place. Bien sûr, une fois en Métropole, une grande partie d’entre eux rencontraient l’âme soeur, et ne rentraient pas. Pas tout de suite en tout cas. Ils trouvaient un emploi. Fondaient une famille. D’autres, tentaient et réussissaient des concours administratifs, depuis la Réunion, et démarraient leur carrière en Métropole. Grossissant ainsi le fort contingent de domiens des fonctions publiques. Pour souvent ne revenir qu’à leur retraite. Voire ne pas revenir du tout.

Pour ceux qui restaient, la famille leur permettait de construire une maison, sur un terrain qui était souvent transmis. Par don familial, héritage. Ou sur une partie du terrain familial, devenu constructible par le jeu des évolutions de plans d’occupations des sols. Générant ainsi un très faible coût du foncier. Faible coût qui mécaniquement justifiait l’acceptation de faibles salaires. Faibles salaires qui ont permis d’accélérer une économie délicate, car essentiellement endémique.

Autre paramètre, les salaires très élevés des fonctionnaires en local (bien plus qu’en métropole), par le jeu de primes (vie chère, arrivée, départ, déménagement…). Créant une richesse artificielle, totalement subventionnée. Et une classe sociale à deux vitesses. Mais ce n’est pas le propos ici, bien que cela en soit un facteur marginal.

Tout comme dans les années 80 encore, les nombreuses lois de défiscalisation, permettant aux classes moyennes et supérieures ayant encore du foncier disponible, de s’enrichir, et donc de partiellement ré-injecter cette richesse encore subventionnée dans l’économie. Et de devenir de plus en plus riches. Et de fausser encore un peu plus cette économie fragile et endémique.

Cette injection massive de subventions a créé une classe de nouveaux riches (immobilier, commerce), bien moins discrets que les anciennes fortunes de l’Île, nouveaux riches affichant clairement leurs avoirs dans les rues et les magazines « people » locaux. Quand ils ne les possèdent pas.

Et enfin, la loi sur la répartition des richesses entre caisses de retraite « riches » (Réunion par exemple) et « pauvres » (Côte d’Azur), amenant la CRR à financer quasiment gratuitement l’accession à la propriété pour ne pas avoir à reverser ses surplus à des caisses de retraite moins bien loties. Au même moment que les lois de défiscalisation immobilières. Curieuse coïncidence qui par effet de levier a encore accéléré la réduction du foncier, et l’augmentation artificielle de sa valeur.

Pour clôturer le chapitre foncier, la création d’un parc national a fait disparaître les seuls vecteurs de croissance foncière et agricole possible. Pour la gloire de quelques nantis, économiques ou politiques. Un peu comme si sur la Côte d’Azur, Grasse et tous ce qui l’entoure, jusqu’au sommet des montagnes n’avait jamais pu être construit. Ah oui. Et un slogan. « Nou lé pas plusse, nou lé pas moin ». Une bétise crasse, politico-électorale, qui enferre encore plus le réunionnais dans l’idée que l’avenir de sa jeunesse est dans l’Île. Et que le pouvoir central, l’État providence et les collectivités territoriales se doivent de l’aider.

Que se passe-t-il maintenant?

  • Plus de service militaire: les jeunes ne quittent plus l’Île.
  • Études possibles dans l’Île jusqu’à Bac +5, les étudiants ne quittent plus l’Île.
  • Plus de foncier disponible gratuitement, et même plus de foncier disponible tout court, alors les prix flambent, au moment où il est le plus nécessaire, les jeunes ne peuvent plus devenir propriétaires, dans une culture quasi universelle de propriété de l’habitation principale.
  • De moins en moins de subventions injectées dans l’économie, car les salaires des fonctionnaires se réajustent, les lois de défiscalisation sont de moins en moins favorables, et les prêts gratuits sont terminés. Cette baisse, voire disparition, des subventions ralentit l’économie. La crise mondiale l’enterre.
  • Des jeunes de plus en plus nombreux, avec un taux de fertilité hors normes.
  • Les parents vivent de plus en plus vieux, ne transférant donc plus leur patrimoine.
  • Les réunionnais ont pris l’habitude, surtout les jeunes générations, de consommer plus, beaucoup plus, et surtout « métropolitain », donc bien plus cher, faisant ainsi disparaître petit à petit les produits locaux, ainsi que les producteurs, déjà réduits par la cession du foncier qu’ils possédaient.
  • Une richesse de plus en plus inaccessible, qui est de plus en plus affichée dans les rues et dans les médias locaux.

Bien sûr, dans les départements métropolitains, ces jeunes seraient partis vers les grands bassins d’emploi. Vers Paris ou les grandes capitales régionales. Comme le font les jeunes provinciaux. Mais c’est impossible pour les jeunes réunionnais. La puissance d’intégration que constituaient des années d’études, le service militaire ou un conjoint local, ne sont plus. Les coûts de transport et d’installation, plus ou moins pris en charge par les collectivités ou l’État, ne sont plus. Et l’envie, qui n’existait déjà pas de quitter l’Île, mais qui était forcée (conscription, cursus), n’existe pas plus maintenant. Pire: la solidarité familiale joue un rôle vicié laissant imaginer au jeune qu’il peut vivre en restant dans l’Île, résidant chez ses parents.

Pas d’emplois, pas de logements, des salaires insuffisants pour acquérir ce qui est disponible, des centaines de milliers de jeunes sans avenir, sans héritage ni patrimoine disponible. Une vie quotidienne de plus en plus chère. Et l’affichage d’une insolente richesse par les classes les plus riches.

L’actualité? Outre les cyclones de plus en plus violents, et le risque de tsunami? Une augmentation de la violence. Une perte de valeurs, de repères. Dans toute la population. Une paupérisation galopante. Le retour de bidonvilles disparus depuis des décennies. Les maux chroniques de la pauvreté: l’obsésité, l’analphabétisme, la sur-natalité… Et pour le pouvoir, les élus, appuyés par les acteurs économiques, continuer de leurrer les réunionnais avec de minuscules carottes telles les contrats aidés, la liste Lurel… Ni la dernière idiotie en date, celle de constituer une assemblée législative réunionnaise, qui comme ailleurs (Corse, Nouvelle-Calédonie) rajouterait une couche d’absorption du peu de richesse créée, surtout par perception directe de taxes, sans la redistribuer massivement comme cela pourrait être nécessaire.

Et je n’ai jamais vu depuis 20 ans quiconque faire cette analyse. Corréler tous ces faits. Suis-je le seul à les remarquer? Combien de temps cela va-t-il durer? Je vous laisse imaginer l’avenir. Je ne propose pas de solutions. Même si j’en ai plusieurs en tête, qui ont fonctionné pour d’autres régions. Je pose juste un constat. Étayé ce me semble.

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BYOD: commencez par la clé USB!

Terme fashion et valise dans l’IT, le BYOD* nécessite d’avoir un Device à emmener avec soi. Et là commencer par une clé USB permet d’investir peu et d’obtenir beaucoup. Mais dans la jungle des produits disponibles, et l’opacité dont font preuve constructeurs et distributeurs, difficile de trouver LA perle. Heureusement il existe BlogUSB.fr, et ce depuis mars 2011.

Vous ne connaissiez pas? L’idée est partie du principe qu’il n’existait aucun site où les clés USB étaient réellement testées, et que les filtres d’achat des sites de ventes en ligne n’étaient pas assez complets. Benoît Hervier son créateur nous en dit plus.

Que se passe-t-il sur BlogUSB?
Sur blogusb, chaque clé est analysée avec soin, les vitesses mesurées. Le moteur de recherche très fin permet de trouver LA clé en fonction de ses besoins avec précisions, pour la personne totalement novice (qui veut une clé pour sa fille, de 4 Go, rose), la personne ultra exigeante ou simplement la clé où le prix par Go est le moins cher.

Et ça a vraiment démarré quand?
Le blog s’est fait connaitre par son billet sur « comment brancher une clé USB sur un iPad » et « brancher une clé USB du premier coup sans se tromper »

Comment fais tu vivre le site?
L’unique revenu de ce site provient du pourcentage sur la vente des clés via le site (via un partenariat avec Amazon)

Pourquoi des clés USB ?
La clé USB c’est de la mémoire flash. Beaucoup moins fragile et très simple à transporter, bien plus qu’un disque dur. Il existe des clés de toutes les couleurs, de toutes les formes, avec des fonctions ultra pratiques, avec des rapidités de transferts qui peuvent varier de 1 à 10 pour un gain de temps vraiment significatif.

La clé USB est-elle morte au profit du Cloud ?
Absolument pas. Le Cloud est omniprésent, mais on a toujours besoin d’au moins une clé USB dans sa poche. Pour un usage communautaire (partage de films, de musique ou de simples documents) mais aussi beaucoup pour utiliser des applications portables.

C’est quoi une application portable ?
Il s’agit d’un programme qui ne s’installe pas sur l’ordinateur. Le logiciel démarre à l’endroit où vous l’avez stocké. Si vous démarrez un logiciel portable depuis votre clé USB, il ne conservera aucune trace sur l’ordinateur lorsque vous retirerez la clé de l’ordinateur. Pour les trouver, tapez dans google le nom de votre logiciel favori, suivi du mot portable. Mes sites favoris UsbSoft.org et LiberKey.com

Au final
En lançant le projet, beaucoup m’ont chambré. Aujourd’hui, 160 clés sont référencées, testées et il y a plus de 400 personnes par jour qui viennent visiter ce site.

Merci Benoît. Souhaitons qu’ils comprennent l’utilité d’une clé USB, et qu’ils soient de plus en plus nombreux à venir!

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  • *BYOD: Bring Your Own Device (en gros, t’apporte ton PC, ta tablette ou ta CléUSB au bureau pour bosser avec) – Également, BYOS avec un S pour SoftWare.

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En cours…

Tout est presque à jour…

Reste les rubriques « cuisine », « musique », et « livres ». J’ai intérêt à me magner, car j’ai bientôt un atelier de cuisine indienne autour du riz, et ça serait bien d’en bloguer le résultat en (très) léger différé. Pour ça, mon admin accélère la mise à jour. L’important, c’est de rester zen. Je vais également reprendre les critiques d’albums Jamendo que je soutiens depuis la première heure, et un prochain billet sur Ben O’Thman l’un des meilleurs artistes lounge de l’époque. Et un autre sur Arto Paasilinna, finlandais, auteur d’ouvrages incontournables comme « Un homme heureux » ou « Le potager des malfaiteurs ayant échappé à la pendaison » (sic).

Pour le côté plus « sérieux », j’ai créé un Tumblr: 2k47.com . J’offre un apéro à qui devine pourquoi je l’ai nommé ainsi.

Voilà, voilà. À; très vite donc!

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