Mikael Mc Laughlin auteur de « Guérilla Marketing for Consultants« , offre gratuitement ses astuces pour tous ceux qui veulent devenir consultant ou pour ceux qui souhaiteraient améliorer leur efficacité. Ce livre de 70 pages explique vraiment de manière simple et terre à terre ce que doit faire un consultant pour développer son activité et améliorer sa rentabilité
Conseils choisis:
sachez vous remettre en cause: analysez votre plan marketing (voir ce qui a fonctionné, ce qui a moins bien marché…), identifiez les nouveautés qui sont dans l’air (ex: le Coaching…), les variations du prix des formations…
spécialisez vous dans un domaine plutôt d’être un généraliste: la clé du succès du consultant c’est d’être le spécialiste dans un domaine précis
demandez des témoignages à vos anciens clients, avec si possible des chiffres prouvant l’amélioration de la situation grâce à votre intervention
présentez des « Success Stories » sur votre site internet en suivant la méthode suivante:
racontez une histoire, et pas seulement un problème (présentez le client, ses problèmes…)
placez le client au centre de l’histoire (et pas vous !)
indiquez comment vous avez travaillé de concert avec le client pour résoudre son problème
rajoutez des détails et des anecdotes, ne restez pas générique
donnez si possible le nom et les coordonnées de l’entreprise
soyez précis dans les résultats apportés, ne soyez pas générique (une augmentation de X %…)
faites court… vous ne devez pas raconter toute votre mission au jour le jour !
n’oubliez d’expliquer dans ce texte comment vous ou votre équipe avez réussi à résoudre le problème du client, par quels moyens, dans quels délais…
pour votre logo, utilisez plutôt des symboles génériques pour illustrer votre activé au lieu de faire une création originale: ex le pouce levé pour demander de l’aide, la poignée de main pour l’aide…
70% des clients visitent les sites internet avant de vous contacter, vous devez donc avoir un site Web irréprochable.
attention à ne pas donner trop de conseils gratuits: lors de la phase de présentation de vos services présentez plutôt ce que vous avez déjà réalisé pour d’autres entreprises que de donner immédiatement vos recommandations.
mentionnez le prix de votre prestation assez rapidement dans la phase de négociation afin de ne pas perdre des heures à monter un dossier qui n’a pas assez de budget.
n’oubliez pas de requalifier les besoins du client une fois que tous les consultants sélectionnés par l’entreprise auront fait leur présentation. En effet il arrive souvent que suite à ces présentations le client veuille plus de services…
pour convaincre le client basez vous surtout sur votre manière de travailler, votre méthode, votre expérience… et votre capacité à vous adapter à l’organisation de votre entreprise plutôt que de mettre en avant vos diplômes, vos clients, votre brochure commerciale ou votre site internet.
préparez bien votre dossier avant de faire une présentation: si vous posez une question bête ou évidente vous perdrez toute crédibilité. Vous devez donc visiter le site de vos prospects, faire une analyse du marché… et ne poser que des questions pertinentes.
laissez parler le client pendant au moins 50% du temps lors du premier rendez vous.
envoyez une première proposition commerciale qu’après avec convaincu le client du bien fondu de votre méthode et de votre solution.
faites au moins 3 à 5 propositions commerciales au client avant de jeter définitivement l’éponge, la clé est de laisser toujours la porte ouverte à la discussion.
lors des demandes de documentation demandez le minimum d’informations (juste l’email par exemple) afin d’inciter vos prospects à donner leurs coordonnées.
ne facturez pas vos services à l’heure mais au service rendu. Cela vous évitera les négociations pour essayer de réduire vos heures ou de présenter dans vos devis un tarif horaire bien trop élevé. Pour cela vous devez mettre en avant les bénéfices apportés par l’entreprise (% de réduction des coûts, augmentation de la rentabilité…) et les comparer au prix de votre prestation.
soignez vos devis en supprimant systématiquement les superlatifs (le meilleur…), le jargon (SOA…), les termes inutiles ou alourdissant les phrases… Au contraire présentez un maximum de faits concrets (réduction de X de vos frais téléphoniques…); et surtout répondez aux questions de la demande de devis de vos clients comme si elle était la seule et l’unique du devis: vous devez être toujours convaincant… tout en faisant court !
8 conseils pour réussir vos présentations Powerpoint:
faites vos slides uniquement après avoir écrit votre discours.
ne faites une slide que si c’est absolument nécessaire
vos slides doivent être lisibles (même du fond de la salle)
les slides ne sont pas vos notes, c’est le message à faire passer à vos clients.
dans la mesure de possible mettre 3 lignes par slides, avec 1 image maxi par slide.
chaque slide doit faire avancer la problématique
évitez les animations
répétez votre présentation afin de vérifier que vos slides s’enchaînent parfaitement les unes aux autres.
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Après les liens sponsorisés, l’adhésion à une régie publicitaire constitue une autre possibilité de gagner de l’argent. Mais attention, comme elles permettent de gagner plus d’argent que les liens, les régies spéciales blogueurs trient sur le volet leurs « clients ». Mieux vaut être « influent », sur un domaine pour pouvoir y accéder.
W2.Media, Adrider ou AD42 offrent des solutions de monétisation d’audiences via bannières, templates spécifiques… l’étalon est le CPM (coût pour mille), pour un montant allant de 5 à 20 euros. Pour blogs dépassant les 30k visiteurs uniques mensuels… Et là, il est important que le public soit très ciblé. Bien sûr les critères sont ceux de la publicité traditionnelle: leaders d’opinion, CSP supérieures. La dure loi du marketing s’applique froidement. Mais les brouzoufs suivent!
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Je reprends le titre d’un hub Viaduc, en le détournant, je sais qu’Éric ne m’en voudra pas.
Avoir un blog devient plutôt commun. Même si comme un certain Jourdain, on fait parfois du blog sans le savoir. Mais avoir un blog, le développer, cela prend du temps, et même un peu d’argent (hébergement, nom de domaine). La tentation de gagner un peu d’argent devient alors grande, d’autant qu’il existe pas mal de solutions le permettant. D’où ce petit panorama, dont voici le premier « chapitre ».
Proposer des liens sponsorisés
Encore une fois, Google est précurseur. Pas dans le temps mais bien dans la qualité de service. Il s’agit en effet du programme « Google Adsense », disponible depuis plus de trois ans. Il suffit de s’inscrire sur Google, puis de paramétrer le format d’annonce choisi, ce qui est à la portée du premier blogueur venu, et Google propose une ligne de code à copier/coller dans le template du blog.
Ou est la technologie là dedans? Eh bien il s’agit de liens contextuels. Contextuel… un peu comme contexte! En effet, un robot vérifie le contenu de la page, traduit ce contenu en mots clés puis va chercher dans sa banque d’annonces celles qui correspondent aux mots clés en question. Donc, dans un billet sur les voitures de sport, les publicités proposées par Google concerneront très probablement des sites de vente de voitures d’occasion. Chaque fois qu’un lecteur cliquera sur l’un des Google vous versera de l’argent. Un peu. Certains blogueurs (influents?) financent ainsi l’hébergement, la bande passante et le nom de domaine associés à leur blog.
Mais Google n’est pas le seul sur le marché. Oxado, Yahoo et Miva proposent également ce type de service.
Comment procéder
Les revenus des liens sponsorisés peuvent cependant être nettement améliorés en observant les blogs les plus influents:
Placer les liens contextuels (le code fourni par Google par exemple) à un endroit bien visible.
Recentrer le contexte: plus votre contenu est précis, concentré sur un sujet unique, plus il sera pertinent. La pertinence du contenu reste la clé. Un blog généraliste aura moins de visiteurs qu’un blog spécialisé. Le Barrablog, généraliste est l’exemple typique. Généraliste, peu de visiteurs. Mais comme mon propos n’est pas l’audience, je ne recentrerais pas. Bien sûr, un sujet « populaire » augmente les chances de visites et donc de clics.
Attendre. Le temps joue pour vous. Grace aux moteurs de recherche un article peut avoir des visites régulières, même plusieurs mois après sa conception.
L’idéal pour augmenter ses revenus, c’est tout de même du contenu en anglais.
Ben en fait, je viens juste de comprendre comment fonctionne Page Addict, que j’ai installé à demeure sur un de mes onglets de démarrage sur Firefox. Depuis le 27 novembre. Et aujourd’hui, j’ai réussi à accéder à l’historique des utilisations. J’ai eu peur. Comme c’est sûrement juste, je vous livre le résultat: 6132. Euh… l’unité? des minutes.
Ce qui fait une moyenne de 2h30 par jour. Une moyenne! Et comme j’ai la certitude de ne pas passer de temps la journée en semaine sur le sujet, je travaille, alors forcément ça se passe la nuit ou le week-end. Je comprend mieux pourquoi ma fille me dessine assis devant un ordinateur, alors qu’elle n’est pas venue me voir à mon job depuis des années…
Ah oui, une petite pointe le 2 décembre: 756 minutes, soit 13 heures. J’ai du m’endormir devant l’écran… Je reviendrais régulièrement sur le sujet. Pour voir si mon état s’améliore!
From ma grand-mère, et diverses sources cumulées depuis de nombreuses années… Ceux qui souhaitent que je les cite, n’hésitez pas, manifestez vous!
Plusieurs milliers de variétés sont disponibles dans le monde, mais quelques grandes familles sont plus facilement trouvables en France métropolitaine: le long grain étuvé, le plus courant, le rond, utilisé dans les risottos, le complet et le gluant.
Le riz rond, pour toutes les plats ou le riz absorbe le liquide dans lequel il est plongé: les risottos pour lesquels on privilégiera les variétés carnaroli ou arborio, les paëlla, riz au lait ou gâteau de riz. La cuisson doit être lente, avec une surveillance constante, à feu doux pour la meilleure absorption possible.
Le riz long grain étuvé, est traité à la vapeur puis séché pour faire disparaître un maximum d’amidon, lui permettant de moins coller à la cuisson. Particulièrement recommandé pour accompagner les plats en sauces, il se cuit facilement dans un « rice cooker », ou autocuiseur à riz. On le connait sous plusieurs types:
le basmati très parfumé, d’origine indienne, on le retrouve dans les plats de cari réunionnais et les plats indo-pakistanais
le riz thaï, dont les grains très fins sont parfumés au jasmin
le surinam, provenant de l’état éponyme d’amérique du sud
la « marmite à riz » réunionnaise
Le riz gluant typiquement utilisé dans la cuisine asiatique et composé de grains ronds et très chargés en amidon; sa préparation nécessite un trempage d’au moins dix heures dans de l’eau froide maintenue à température, puis après egouttage, il doit être cuit à la vapeur. On en fait des gateaux ou des bouchées
Le riz complet, au grain sombre, sans sa coque, et non blanchi. Sa cuisson est très lente (45 minutes, avec certaines marques permettant le quart d’heure). Il est riche en vitamines, sels mineraux et fibres. Autre riz complet, mais rond celui-là, le riz noir pour des risottos originaux, à rechercher dans des boutiques spécialisées. Une mode alimentaire, à conseiller aux amateurs de produits plus « naturels »
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À suivre: les différentes façon de cuire le riz!
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